Entretien avec Philippe Olmos, Sales Business Development Manager de Cisco pour le Sud-Est de la France, concernant le rôle de cette marque dans la transformation numérique de l’économie française.
- Votre titre « Sales Business Development Manager » laisse comprendre que vous n’êtes ni complètement un commercial, ni complètement un consultant : quel est votre rôle ?
Philippe Olmos : Mon rôle consiste à assurer une veille active dans les domaines de l’innovation et de la transformation numérique. Concrètement, je dois identifier le plus grand nombre d’initiatives dans ces domaines, sur un vaste territoire qui couvre la Corse, la Provence/Alpes/Côte d’Azur, Monaco et l’arc méditerranéen qui va du Gard aux Pyrénées-Orientales. مواقع روليت Ce n’est effectivement pas un travail commercial, dans la mesure où nous travaillons avec des partenaires revendeurs ou intégrateurs, qui gèrent ces étapes, mais mon rôle est de sensibiliser les entreprises et les collectivités aux enjeux de la transformation numérique et de les diriger vers nos partenaires. Par ailleurs, mon action s’inscrit dans le programme Cisco Digitalization Acceleration, qui représente un investissement de 200 millions d’euros pour la France. موقع مراهنات
- On associe généralement Cisco aux grandes entreprises : ne vous intéressez-vous qu’à elles ? لعبة بينغو
Philippe Olmos : Nous travaillons effectivement avec la plupart des grandes entreprises françaises et avec des métropoles comme Paris ou Marseille, ce dont nous nous félicitons, mais il est faux de penser que Cisco n’est présent que dans ces grandes structures. Tout d’abord, nous accompagnons des startups et, le cas échéant, nous entrons au capital, comme dans le cas d’Intersec. Par ailleurs, nous avons créé une division dédiée aux PME et nous avons des projets avec un nombre croissant de villes moyennes, comme Narbonne, Nîmes, Arles, Issy-Lès-Moulineaux, etc. Enfin, nous avons des initiatives fortes dans le domaine de la Responsabilité Sociale des Entreprises, ou RSE, ce qui amène Cisco à être présent dans les écoles, dans des lycées, comme à Carcassonne, à collaborer avec des établissements d’enseignement supérieur, comme l’IUT de Béziers, ou encore à assurer des formations qui ne concernent pas directement nos produits, comme les domaines du développement ou de l’Internet des objets, par exemple.
Propos Recueillis par Pascal Boiron, MID e-news