Conseil en stratégie numérique : Ippon s’installe en plein cœur de Toulouse

En partenariat avec Touléco 

Le cabinet de conseil en numérique Ippon a recruté Laurent Blondon (ex-Ekito), pour diriger son agence toulousaine. Lui et son équipe viennent de s’installer dans les anciens locaux d’At Home, place de la Bourse.

Laurent Blondon dans les nouveux locaux d’Ippon. Crédits : Valentine Chapuis – ToulÉco

Jusqu’alors hébergés dans un espace de co-working de La Mêlée, les quinze salariés d’Ippon viennent de prendre leurs quartiers place de la Bourse, dans le vieux Toulouse. Cette agence, créée il y a un an et demi, propose aux entreprises de l’accompagnement pour accélérer leur transformation numérique. L’équipe dirigée par Laurent Blondon, ancien directeur général d’Ekito, représente une branche du groupe Ippon, présent dans plusieurs villes de France ainsi qu’aux USA, au Maroc, en Australie et en Russie.

Marché très concurrentiel

« Nos domaines d’expertise vont de la valorisation des datas, au cloud, qui est un sujet majeur pour les entreprises. Nous accompagnons aussi les entreprises dans la transformation des organisations en mode agile », précise Laurent Blondon. Parmi les clients de la société, des grands groupes comme Airbus (notamment pour le projet SkyWise de valorisation des données chez Airbus) mais aussi beaucoup de PME. Dans un marché hyper concurrentiel qui place Ippon face à des mastodontes comme Capgemini ou SopraSteria, le groupe mise sur son niveau d’expertise et la formation de ses collaborateurs.

« Ippon a été créé en 2002 par un ancien champion de judo, Stéphane Nomis. Ce n’est pas anodin car les valeurs d’entraide et de dépassement de soi y sont fortes. Nous avons en interne un système de formation et de mentoring entre collaborateurs très vertueux qui attire les meilleurs talents. À défaut de notoriété, Ippon mise sur la qualité de ses collaborateurs », poursuit le directeur de l’agence.

Actuellement Ippon Toulouse réalise un chiffre d’affaires de deux millions d’euros, et son modèle de croissance est rapide. De quinze collaborateurs actuellement, elle devrait passer à trente puis à 50 d’ici deux à trois ans.

Sophie Arutunian, Touléco