GA Smart Building change de dimension

Tout à la fois promoteur, concepteur, constructeur et gestionnaire des bâtiments, GA Smart Building vient de lancer le Campus « NOW Living Spaces » à Saint-Martin-du Touch. 

 

« NOW Living Spaces porte de fortes ambitions environnementales et vise la certification HQE niveau « Très performant » ainsi que le nouveau label Ready to OsmoZ pour la qualité de vie au travail et le confort des usage », indique le groupe . Image Label Architecture et CDA.

 En partenariat avec 

 

Pas de doute, le constructeur Toulousain a changé d’ère et retrouvé le chemin de la croissance. « Notre chiffre d’affaires progresse de 25% par an depuis quatre ans, et dans ce contexte nous recrutons 130 personnes en 2018, dont 91 à Toulouse, notre siège historique », indiquait en début d’année Estelle Foucher, la DRH de GA Smart Building. La PME dispose de cinq sites de production dans toute la France, emploie 675 collaborateurs dont 380 à Toulouse. Et début 2018, elle affichait 300.000 m2 de chantiers en cours et un carnet de commande de 230 millions d’euros (dont la construction du futur centre logistique d’Amazon de 142.000 m2 à Brétigny-sur-Orge).

Un centre de compétences bois et béton

En devenant il y a un an actionnaire à 100% d’Ossabois, le leader français de la construction bois, via une opération de croissance externe, le groupe et vise un chiffre d’affaires qui dépassera les 300 millions d’euros cette année. Cette opération devrait favoriser de nouvelles embauches en 2019. « Nous créerons un centre de compétences bois et béton, et allons et intégrer du bois dans nos immeubles dès l’année prochaine, » indiquait Sébastien Matty, le PDG de GA Smart Building, à l’annonce de ce rachat.

Dans ce groupe, où tous les métiers sont intégrés (de la R&D, en passant par la conception, la production, la vente et le suivi de chantier), on recherche des profils variés d’ouvriers, de formation Bac +2, +3, +5, projeteurs d’exécution, conducteurs de travaux, ingénieurs d’affaires, commerciaux… En 2018, l’entreprise prévoit de mixer l’embauche de jeunes diplômés (à 60%) et de profils expérimentés, uniquement en CDI.
 

Béatrice Girard