Près de 200 professionnels de la donnée se sont donnés rendez-vous le 11 décembre 2018 pour l’édition annuelle de La Mêlée Géodata, à Toulouse. Résumé de la journée.
Le 11 décembre 2018, tous les espaces de Nova Mêlée (lieu géré par l’association du numérique en Occitanie, La Mêlée) étaient occupés par l’événement annuel « La Mêlée Géodata ». Lors de cette édition 2018, environ 200 professionnels de la donnée étaient réunis pour assister à trois tables rondes et à une dizaine d’interventions (ateliers, prises de parole, remises des prix des Challenges Numériques de Booster Nova…).La journée était animée par Françoise de Blomac, Rédactrice en Chef de DecryptaGeo, le média de référence dans le domaine de l’information géographique, lequel fête son 20ème anniversaire cette année. Les trois tables rondes ont mobilisé plus de 15 experts, dont celles et ceux représentant la Région Occitanie/Pyrénées-Méditerranée (Pierre Trilles), le Conseil départemental de Haute-Garonne (Thierry Martin), les métropoles de Montpellier (Jérémy Valentin) et de Toulouse (Sandrine Mathon), l’IGN (Guy Flament, Responsable Sud-Ouest), ESRI France (Guillaume Thomas), Magellium (Jean-Yves Garinet), SOGEFI (Mathilde de Sulzer Wart), Open IG (Clara Levêque), Joël Angles (Aerospace Valley), le CNES (Jacques Beas-Garcia), API-AGRO (Renaud Font), RTE, pour « Réseau de Transport d’Electricité » (Mickaël Le Lay), Pôle Star (Christian Carles), Datkode (Laurent Plainecassagne), le cabinet d’architecte Raynal (Bruno Raynal) ou encore Pangeo Conseil (Jean-Philippe Voirin, Géomètre Expert)… Cette journée dédiée à la donnée géographique a été clôturée par Yann Barbaux (Aerospace Valley), Bertrand Monthubert (Université Fédérale de Toulouse et Conseiller régional Occitanie/Pyrénées-Méditerranée, délégué à l’enseignement supérieur et à la recherche) et Bertrand Serp (vice-Président de Toulouse Métropole en charge du Numérique).
Les trois grandes thématiques étaient la montée en puissance de l’open data dans les régions, l’apparition de nouveaux services de plateformes d’accès et les liaisons à développer entre la géomatique et l’immeuble intelligent (« BIM » pour l’acronyme).Dans tous les cas, le mot d’ordre du moment est rendre intelligibles ces « masses de données », qui restaient incompréhensibles pour les « non experts » en géomatique, alors que le but est clairement d’en faire des outils d’aide à la décision pour les élus et leurs équipes.
Pascal Boiron, MID e-news