Toulouse Métropole a choisi Ellona pour équiper l’éco-quartier Montaudran, vitrine technologique et d’innovation de la ville destinée à tester des aménagements numériques du territoire métropolitain.
Ce sera donc le leader de l’Intelligence Environnementale Ellona qui équipera l’éco-quartier Toulouse Montaudran Aerospace, aussi appelé « le quartier du futur ». Dans le cadre du projet « Vol de Nuit », rassemblant un bouquet d’innovations et de sociétés (Scopelec, Alsatis, Exem, etc.), la société aura ainsi pour mission de mesurer et de cartographier la qualité de l’air et le bruit afin d’aider la communauté en temps réel d’agir efficacement pour améliorer la vie des citoyens et les opérations de la ville.
Pour cela, Ellona déploiera tout un réseau de capteurs, en extérieur comme en intérieur. Alors que des modèles WT1 seront disposés sur différents sites du quartier pour détecter les émissions de gaz, de particules, de bruit et d’odeurs, plusieurs POD2 seront destinés à identifient les sources de nuisances (composés organiques volatils, toxines, allergènes, etc.) au sein de bâtiments publics et des salles de spectacles, notamment à la Médiathèque et à la Halle aux Grains.
« Toulouse Métropole est au cœur de l’innovation et nous confirmons notre volonté de développer des smart cities. Nous nous investissons dans ce projet de grande envergure et sommes ravis de favoriser l’écosystème toulousain afin d’offrir une meilleure qualité de vie à nos concitoyens », se réjouit Joë Di Marco de Toulouse Métropole.
De son côté, Jean-Christophe Mifsud, PDG d’Ellona, se dit « fier d’avoir été sélectionné pour ce projet novateur et de participer à l’amélioration du bien-être des citoyens dans les espaces collectifs de la ville de Toulouse ». « Notre mission est de rendre visible l’invisible, en mesurant en temps réel les gaz, les particules, mais aussi d’intégrer les éléments perceptibles pouvant impacter l’adhésion des citoyens à leur environnement comme les sons, les odeurs, les allergènes, en agissant mieux pour leur santé, la salubrité et l’engagement. Les données collectées peuvent être ensuite transmises aux responsables des opérations, ainsi qu’aux citoyens et collaborateurs, afin de rendre les espaces plus sains, plus intelligents et plus sûrs », conclut-il.